Bonjour, La Nuit! (French Short Story)

Note: This following short story was intentionally created to be competed in FBS Award (of my college almamater) in 2012 and gratefully I receive as 2nd Runner Up for the category of Best Short Story in French.


Bonjour, La Nuit!

par Yulia Tricahyaningtyas

(Courtesy Pinterest)
 

“Le Loup! Le Loup!”, Ils lui appellent fortement. Il fait se taire et préférer marcher rapidement à sa classe.

Il s’appelle Juan Ruiz. Il habite aux environs de ville abominable au Mexique. Il a 15 ans. Il vit avec son père seulement. Sa mère est morte parce qu’elle a été écrasée par une voiture d’une rue à Mexico City, quand elle travaillait là. Il est un lycéen, mais il travaille au bar où son père travaille aussi. Il travaille comme le serveur qui sert les cuisines aux clients. Sa vie est très différente, parce qu’il ne travaille pas au bar comme d’habitude, mais au bar dans le bordel. Il commence sa vie et ses rêves à la nuit. C’est pourquoi tous les amis lui appellent “Le Loup”, parce qu’il vit et travailler tous les soirs.

Au lycée, Juan est un lycéen simple. Très simple. Il n’est pas un intelligent de plus. C’est ordinaire. Mais, il rêve toujours être une grande personne. Mais, il ne croit pas d’être un directeur ou bien un propriétaire, etc. Parce qu’il est un pauvre. Il pense que tous les pauvres n’iront jamais être n’importe qui.

Au contraire, il y a une bonne nouvelle au tableau de publicité à son école. Quand il la traverse, il regarde un papier attirant. Qu’est-ce que c’est? C’est l’information de la compétition de journaliste subalterne d’entier Mexique. Après le lit, il pense qu’il doit la suit parce que le grand prix de la compétition se coutent 30.000 peso mexicain. Mais il y a du thème que tous les participants doivent présenter les qualités de chefs et ajouter un exemple. Et puis, il pense qu’il doit faire d’entrevue quelqu’un, cet homme M. Valdez, le directeur de son lycée. C’est impossible faire d’entrevue avec M. Valdez, parce qu’il a mal dans sa peau. Mais, Juan crois qu’il gagnera le grand prix de la compétition.

Ce soir, il travaille au bar du bordel comme d’habitude. Il le fait pour que son père ne soit pas très fatigué. Son père, M. Felipe Ruiz a 50 ans et avoir mal d’une tumeur cancéreuse. C’est pourquoi il a l’air de sympathique et être prêt à travailler pour lui. Mais, tous les jours, le propriétaire, M. Sanchez est fou des ses travails. Il a accusé que Juan et M. Ruiz ont volé de l’argent des clients, ou oublie server les ordres, casser le verre, etc. Tant pis, M. Ruiz a été frappé jusqu’à blesser sans la raison.

Le jour change. Juan commence sa vie encore. À son lycée, il est prêt faire d’entrevue à M. Valdez. Il croit toujours devenir le gagnant de la compétition de journaliste.

Juan frappe la porte de chambre du principal, M. Valdez.

“Entrez, s’il vous plait”, M. Valdez lui accueillie.

“Bonjour, Monsieur”, Juan lui salue.

“Bonjour, Juan. Qu’est-ce que je peux vous aider?”, M. Valdez lui demande.

“J’ai de besoin de suivre la compétition de journaliste”, Juan réponse légèrement.

“Et puis?”, M. Valdez demande encore.

“Je voudrais faire d’entrevue à vous, comme mon objectif. La thème est les qualités de chefs”, Juan essaie expliquer.

“Par exemple?”, M. Valdez confonds.

“Faire d’entrevue à quelqu’un. Le chef, le principal, le président, etc.”, Juan donne les exemples.

Silence

“Je veux le grand prix. C’est pour mon père. Il a mal de tumeur. Il faut que je l’aide”, Juan a pitié de visage.

“Bien sur”, M. Valdez réponse. C’est le signe de la façon parfait.

Ils sont d’accord. Juan commence son devoir pour faire d’entrevue à M. Valdez. L’interview marche bien. Et après, Juan tape le résultat de son interview. Il imagine que son journal devenir numéro un ca faisant.

Un jour plus tard, il envoie son journal à la compétition où se trouve au Mexico City. Il l’envoie avec un peu d’espoir. Et puis, il doit attendre l’annonce vers une semaine. Au bar, il envisage de son journal, bien qu’il ait peur de ne pas continuer la compétition à la finale. La grande finale ira au Mexico City et le grand prix accompli 30.000 peso mexicain.

Une semaine plus tard, d’un dimanche après-midi, quand Juan fait ses devoirs à sa maison, il y a quelqu’un qui frappe la porte. Et puis, quand il l’ouvre, il ne voit rien. Mais, au bas, il y a une lettre. Il le prend et l’ouvre directement. Quelle est belle nouvelle! Il lit que son nom et sa création entrent en suivante phase.

Il a une nouvelle, alors, il a envie de raconter son père. Cet après-midi, M. Felipe Ruiz n’est pas chez lui, parce qu’il a un autre travail. Alors, au soir, Juan qui n’a pas travaille aujourd’hui parce qu’il a un jour de congé, va aller au bar pour raconter son père. À la fin de travail, quand M. Ruiz sort du bar, il voit Juan se lève devant la gare.

“Qu’est-ce que tu fait ici? Tu as un jour de congé au dimanche”, M. Ruiz lui demande.

“J’ai une nouvelle pour toi”, Juan lui réponse gaiement et il donne la lettre de l’annonce pour son père.

“Qu’est-ce que c’est?”, M. Ruiz l’ahuri. Il ouvert la lettre, et quelle est très belle nouvelle. C’est le premier temps qu’il gagne. Cette lettre annonce que son garçon est donné la chance de continuer à la compétition de journaliste subalterne.

“Je te félicite, Juan. Je suis fier de toi”, M. Ruiz lui félicite et lui embrasse. “Je t’aime”, M. Ruiz l’ajoute.

Le jour de finale commence. Car son père a mal de tumeur plus sérieux, alors, Juan départ au Mexico City avec M. Valdez, son inspiration. Au Mexico City, il y a beaucoup de peuples qui a envie gagner la compétition. Juan a moins peur de ne va pas gagner le grand prix. Mais, il reste croire devenir le mieux. Pour être en haut de 10, les participants doivent à la quarantaine pendant dix jours. En fin, après dix jours, la liste du suivant processus annonce.

“Juan Ruiz! C’est mon nom, Monsieur!”, Le nom de Juan est annoncé heureusement

Le nouveau jour attend l’haut de 10. Ils doivent à la suivante quarantaine. Juan est très content est plus croit qu’il peut donner le grand prix pour son amour, le seul Papa. Mais, il doit essayer une fois encore.

À la grande finale, il faut que tous les participants présentent la technologie et l’innovation. Juan a une idée. Il cherche l’information ce qu’il va présenter à l’internet. Il présentera le découvreur de l’hautparleur. Au loin, M. Valdez regarde la présentation très professionnellement. Le style de la présentation est convenable. Après toute la présentation de tous les participants finissent, c’est le temps de l’annonce. Juan a l’air nerveux. Il est toujours aussi optimiste. Mais, le destin au contraire avec l’attente. Juan ne gagne pas. Il est très triste car il est loin à pied de Villahermosa à Mexico City et il n’apporte pas à la place de 30.000 peso mexicain. Mais, il doit l’accepte sportivement. En fin, Juan et M. Valdez chez eux ne l’apporte rien.

“Tu n’as pas gagné n’importe quoi, mais tu as eu le courage pour l’essayer. Peut être, en dehors à l’autre Mexique, il n’y a pas de personne qui a fier de suivre cette compétition, Juan. Crois-moi, tous les tes travails n’est pas en vain. Peut être, il faut que tu essayes plus fort à l’autre occasion”, M. Valdez lui donne l’esprit.

“Mais, si je gagnais 30.000 peso mexicain, j’irais emporter mon père à l’hôpital pour acheter les médicaments. Ben, oui, j’essayerai encore à l’autre chance. Merci beaucoup, Monsieur”, Juan réponse patiemment.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     

 À chez lui, à Villahermosa, il y a une autre mauvais nouveau. C’est plus mal. Le père de Juan est mort. C’est le désastre pour lui. Il est mort quand Juan est allé à Mexico City pour suivre la compétition de journaliste.

“C’est impossible! Non! Papa!”, Juan crie.

“Je m’excuse, Juan. Je lui ai emporté à l’hôpital. Mais, Dieu a l’autre plaine”, M. Sanchez lui explique.

“Papa!”, Juan pleure et crie plus fort.

Après le mort du père, Juan n’a pas de plaine de la vie. Alors, M. Valdez donne l’offre à Juan.

“Juan, pourrais-tu habiter à ma maison? Je n’ai rien contre”, M. Valdez l’offre.

“Vous êtes sur, Monsieur?”, Juan confonds.

“Oui, bien sur”, M. Valdez l’accepte gaiement.

Le nouveau jour vient. Maintenant, Juan habite avec la famille de M. Valdez. Ils sont très bien. Quand Juan punissait toujours, il a pensé que M. Valdez est un homme vicieux. Parce que s’il a eu une faute, il a été puni. Au contraire, M. Valdez est un homme agréable. Sa famille est bien aussi. Alors, tous les jours, il sent la mieux vie. Il devient un garçon consciencieux.

Un jour, il écrit sur son journal :

“J’ai une nouvelle vie. Je suis Juan Ruiz, mais à cette maison je suis Juan Valdez. Ils sont très bien à moi. Merci, Dieu, bien que j’ai des mauvais expériences et étais une pauvre, mais maintenant, je me sens bien. Alors, Je commençais la vie à la nuit. Maintenant ? Je commence ma vie comme les autres. Étudier, vivre, apprendre, comprendre, etc. Ce sont ce que je fais depuis l’accident. Je sais que tous les travaux ce que nous faisons ont les risques. J’ai compris que la vie est le choix. Je disais “Bonjour, La Nuit!”, et dans d’entières nouvelles vies je dis “Au Revoir, La Nuit! BONJOUR, LA NOUVELLE VIE!”.

 

Fin


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